Ikigaï INSTITUT.COM

A propos.

Ce qui nous empêche d’atteindre vraiment nos objectifs et de vivre pleinement, ce sont toutes les idées qui se trouvent dans notre tête. Les situations ont beau être toujours nouvelles, nos réactions restent toujours conditionnées par notre “programmation neurologique”.

L’égo, un vide rempli d’idées reçues.

En fait, nous ne réagissons pas comme des humains mais comme des sortes de robots gérés par un ordinateur. Lorsqu’un problème se présente à nous, quel qu’il soit, notre logiciel intérieur va chercher la réponse dans notre base de données. Les cellules de notre corps et notre environnement changent sans cesse, mais les applications qui gèrent notre quotidien sont figées et elles produisent logiquement toujours les mêmes réponses.

D’ou viennent ces “règles de vie” qui se trouvent sur notre “disque dur mental”? Ce n’est pas difficile à découvrir : beaucoup d’idées de nos parents qui les tenaient souvent de leurs propres parents, etc, des idées de nos professeurs, de nos camarades de classe et de leur famille, de la société…Et pour bien solidifier tout ça, il y a nos expériences de la vie qui bien évidemment reflètent exactement le contenu de notre base de données.

Ce vortex d’idées reçues, c’est ce qu’on appelle : moi, ma personnalité, mon ego,…Et on est en général prêt à tout pour défendre ce petit territoire fragile qui est en fait à 100% un tissus d’illusions.

S’ouvrir à la force de l’Ikigaï.

S’ouvrir à la force de l’Ikigaï, c’est à dire à la force vitale, à l’inspiration, au flot du présent suppose de changer radicalement de point de vue. Aucun coaching, aucune thérapie ne peut réussir par une investigation en soi ni par une addition de croyance. Il n’est pas question de rétablir sa “confiance en soi” puisque le “moi” n’est rien. La solution c’est de retrouver la confiance dans la vie.

L’ikigaï ne s’explique pas, il ne s’analyse pas, il se vit, il est dans la sensation, pas dans la pensée. Se lever le matin et ressentir en soi une joie inexprimable d’être là, c’est une manifestation de l’Ikigaï. A Hawaï, le même état porte le nom lui aussi intraduisible d’ALOHA. Pour la tradition Hawaïenne, vivre en état d’Aloha c’est être PONO…Encore un mot intraduisible. L’état pono c’est être supporté par la vie parce qu’on se trouve naturellement en harmonie avec elle.

Etre en harmonie avec l’univers, ce n’est pas si compliqué que ça puisqu’on naît dans cet état…C’est après que les choses se gâtent, avec l’éducation telle qu’elle est conçue. Parce qu’on ne nous apprend pas les règles de base pour naviguer dans le sens du courant. Tout ce qu’on nous enseigne c’est plutôt des stratégies pour remonter dans l’autre sens.

C’est fatigant, c’est stressant et ça finit par casser. Le vol des oiseaux dans le ciel ne laisse aucune trace, mais notre identification avec notre ego, c’est à dire nos mémoires, fait qu’on tient à laisser des traces.

Accueillir les problèmes

Lorsqu’on bute sur des problèmes, c’est toujours à cause de cet attachement. Du coup, on peut dire qu’un problème c’est toujours une chance de se réinventer. En général, la solution ne peut venir que ce ce que notre absence totale de croyances et pas de ce que l’on considère comme certain.

Lorsqu’un problème émerge, c’est toujours parce qu’on a cessé d’être “PONO”. C’est la raison pour laquelle les Polynésiens utilisent des rituels qui permettent le “retour chez soi”. A Hawaï, l’une de ces coutumes porte le nom de “Ho’oponopono”. C’est tout simplement un moyen de retrouver l’harmonie avec soi et avec l’univers. Retrouver l’état PONO, c’est en fait retrouver en soi la force de l’ikigaï…L’embarcation est à nouveau portée par le courant sur la voie de moindre résistance.

En quoi consiste le Ho’oponopono et pourquoi s’y intéresser?

Un nouveau système d’exploitation

Le point de départ est toujours une prise de conscience. Il est préférable d’avoir tous essayé avant, sans résultat durable. L’apparition de problèmes qui à première vue semblent graves est souvent à l’origine d’une tension qui devient insoutenable. L’insoutenable aide souvent les mutations. C’est lorsque la survie des espèces est en péril que se produisent les mutations.

Lorsque plus rien ne fonctionne dans la vie, c’est le signe évident qu’on n’est plus pono du tout et qu’on vit à côté de son ikigaï…L’étape suivante c’est la dépression, le burn-out ou carrément une maladie physique qui impose une urgente remise en cause de notre mode de vie.

A ce stade, la seule thérapie efficace n’est pas d’ajouter des idées à des idées, des croyances à des croyances mais au contraire, de tout effacer. La voie la plus simple parce qu’elle met fin à toute intellectualisation, c’est le Ho’oponopono dans sa version remise à jour par Morrnah Simeona.

La démarche a le mérite d’être simple et radicale. Elle repose sur un principe naturel de base qui est qu’on ne peut remplir qu’un verre vide d’une eau fraîche. Pour utiliser une image plus technique on peut aussi dire que pour faire la mise à jour d’un système d’exploitation sur un ordinateur, il faut supprimer l’ancienne version…

Installer un nouveau système permet ensuite de s’adapter à un nouvel environnement…C’est cette fluidité qu’on appelle “état d’Aloha” ou “Ikigaï”

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